Dans une auberge de maldragus

Sigrid avait vu le nouveau arriver.
Elle se déplaça doucement en direction de la table et finit par s'assoire à la table de derriere. D'une main habile elle saisit la bourse de l'inconnu et tira doucement dessus.
Mais à se moment, le serveur arriva et attira l'attention du proprietaire sur la voleuse.
La jeune femme se petrifia.

Sigrid ne bougea pas, interloquée.
Elle tira sur la bourse, l'ouvrit et vit que, en effet, ce n'etait pas de l'argent qu'elle contenait.
Elle se sentit un peu stupide et se maudit interieurement ainsi que le serveur mais se dit que ça lui ferait une bonne leçon: toujours etre vigilante.
Elle rendit la bourse au dragonnier et lui adressa un pâle sourire:

- Excusez moi. Vous m'aviez l'air de quelqu'un qui ne manque pas d'argent alors je me suis dit que 3 ou 4 pièces de moins ça ne pouvait pas vous affecter. Pour me faire pardonner, je vous offre le deuxieme verre.-

Le serveur lui lança un regard méfiant mais se ravisa quand la jeune femme sortie deux pieces d'argent de sa manche.

- Vous parcourez le pays depuis longtemps ?- ne put s'empécher de demander le chat-garou.

Les portes du bar grincèrent laissant apparaître un homme dénommé Lancelot, on dit que Lancelot est un beau jeune homme qui n'a pas recu les défauts de la jeunesse. On dit que son torse a été sculpté a même le bras des anges, son visage est orné d'un début de barbe vers le bas et en haut un style mal rasé qui le rang séduisant. Il a les yeux verts comme l'émeraude et irrésistible comme l'améthyste, il a le visage rond et bien formé on n'y décèle aucun défauts. Il porte des cheveux courts laissé a l'air libre identique a ceux de son père qu'il n'a malheureusement pas connu. Ses jambes on été musclé et sa cheville foûlé maintes fois mais la dureté de c'est membres font de lui, un guerrier sans égale et doté de la la chose la plus importante, l'honneur et la sincérité. Chaque climat oû vent froid qui se frappe sur sa peau ne l'affecte point car c'est un homme endurcis et solide.

Ce qui est fait était la vérité...

L'homme jeta un coup d'oeil a Sigrid et son coeur cessa de battre, croiser le visage de cette femme fît trépidé le coeur de l'homme, il ne savais point pourquoi, il s'assîs donc près de la table et ferma les yeux un Flash back apparu

Croyez vous qu'il est vivant sir ? La blessure n'est pas mortelle Garahd, apportez le au château...

Ce fûs avec peine que le jeune capitaine de la garde transporta le jeune homme insconscient jusqu'à la demeure du seigneur Érod. On le déposa sur un lit dans une chambre tout en haut des remparts du château laissant un halo de lumière pénétrer dans l'enceinte de la chambre isolé.Après de longues heures de sommeil dans l'inconscience, le jeune homme d'une âge véritable de 15 ans fût surprit par une épée qui scillait près de son cou

Lève toi, et marche droit devant toi sans t'arrêté...

Le jeune garcon n'avais que d'autre choix que d'obéir au dires qui résonnait dans son oreille sa mémoire était brouillé essayant de savoir qui il était pourquoi était-t'il ici mais rien vain l'éclaircir. Devant lui se dressait un chemin avec de petites pierres mais le soleil aveuglait la vue du jeune homme quand tout a coup on lui ordonna de rester en place, toujours impossible de distinguer quoi que ce soit mais devant lui attendait un homme don l'épée frappait la terre fraîche qui venait de recevoir une faible pluie.

Ici, tu n'est plus rien, tu est une ombre oublié et abandonner de tous, tu est un homme voué a être un Templier, la flèche du destin ta guidé vers nous. Obéissance tu nous devras et perspicacité tu aura.

Mais...

Je ne t'est pas demandé parole Templier quand un maître parle, le déranger est l'une des actes la plus félonne ! Alors referme ton clapet ! Sur ce demain matin ton entraînement commencera et sera une tâche ardu..Le cycle de ta vie est maintenant écrit en lettre d'or

Le chevalier hocha la tête et revînt a lui, il soupira et baissa la tête mais la releva aussi tôt pour fixer Sigrid

La jeune femme n'attendit pas de réponse et se figea. Un frisson la parcourut et elle se sentie vite observée. Cet etrange malaise semblait la couper du reste de la salle. Du coin de l'oeil elle chercha qui pouvait la regarder avec tant d'insistance qu'elle se sentait brulée.
L'homme ne fut pas dur à trouver: assi à la table d'à coté, ses yeux vert etincelants la fixaient. Sigrid ne supportait pas de se sentir aussi démunie face à un regard et fit mine d'ignorer la présence du chevalier.
Malheureusement, sa curiosité et sa gène l'emportèrent et elle se leva. Elle s'excusa auprès d'Akou, lui remis sans discusion deux pièces d'or dans les mains pour le dédommager même si elle ne lui avait rien prit.
Avec un dernier sourire amical elle quitta sa table et vint se camper en face du chevalier, les poingts sur les hanches, les prunelles brulantes de défi. D'une voix neutre elle lui demanda:

- Auriez-vous l'amabilité de me dire pourquoi vous me regardez avec autant d'insistance ? Vous m'accorderez que se sentir dévisagé de la sorte n'a rien d'agréable. Il me plairait de connaitre votre identité, messir.-

La jeune femme ne se laissait pas déconcentrer par le visage de l'inconnu, ni par son regard qui tout deux lui inspiraient un felin en chasse. Et elle n'aimait pas se sentir la proie de ce felin là.

L'homme se frottait le début de barbe mal rasé tout juste en haut de ses fines lèvres, Lancelot n'avais pas un seul instant manqué l'occasion de fixer Sigrid ses yeux verts émeraude scintillant et devenait pétillant a la lumière du soleil qui pénétrait dans l'enceinte de la baraque en bois. Le chevalier n'en fûs qu'a baisser la tête quelques instants lorsque Sigrid a son tour croisait son regard mais le chevalier n'y perdîs point prise. Celle-ci vînt s'asseoir a sa table, ses lèvres formèrent une demie-lune l'homme était toute ouïe au parole de la dame

- On peut toujours se sentir dévisagé quand on ne le sais pas pourquoi, mais quand nous le savons ceci est un autre avis, de par ma part je vous trouve ravissante demoiselle il ne m'en fû que vous regarder pour le déduire...

Le chevalier avais maintenant un air sérieux et à la fois jovial mais gardait toujours ce petit sourire en coin qui était sincère

Sigrid resta un moment interdite devant la franchise du jeune homme. Jamais on ne lui avait dit en face ce que l'on pouvait penser d'elle et elle s'en trouva un peu prise au dépourvu.
Elle resta muette un instant, dévisageant l'inconnu et cherchant ses mots.
Elle finit par souffler un petit "Merci" à peine audible. Puis elle secoua vivement la tête comme pour se reveiller et tenta tant bien que mal de reprendre un air mécontent même si la manoeuvre ne reussi pas vraiment.

- Vous ne m'avez toujours pas répondus, chevalier: Qui etes-vous ?-

La jeune femme ne put s'empecher de le détailler un peu plus, comme à chacunes de ses rencontres avec quelqu'un.

Le chevalier n'avais pas quitté les deux yeux de Sigrid depuis le début de la conversation, il les fixais avec volonté avec son iris identique a une mer calme et douce. Lancelot releva la tête pour mieux montrer son visage élégant toujours aussi perspicace que tout a l'heure

- Je ne suis que la personne qui vous trouve ravissante, mais a vos yeux je ne suis q'un homme tout a fait normal, alors pourquoi désirez-vous me connaître ? Belle demoiselle..Je ne dois pas être le premier a vous mettre a votre juste valeur car quand je parle je ne mens jamais...

Cette fois-ci, la jeune femme piqua un magnifique fard. C'etait la premiere fois que ça lui arrivait !
Avec une grande inspiration, elle articula quand même:

- Je voudrais simplement savoir votre nom et d'où vous venez. Et si vous tenez tant à le savoir, non, on ne me dit pas souvent que je suis belle, bien au contraire. Et si vous me connaisiez mieux, vous penseriez surment la même chose. Il peut etre dangereux de se fier aux apparences messir.-

Son ton n'avait rien d'agressif, juste informatif.
Les iris noirs brillantes de Sigrid faisaient face à ces vertes emeraudes du chevalier.

Le vert semblait triomher sur les iris de Sigrid l'homme avait toujours son regard à la fois embarassant et sérieux. mais toujours côtoyé d'une touche de charme

- Je me nomme Lancelot..Chevalier à qui le destin à laissé seul mais offre toujours des moments de bonheur, telle que discuté avec vous même c'est un honneur impérissable demoiselle. Vous pouvez être dangereuse mais rien de tout vos actes ou parole n'interfèrent dans votre visage avec une beauté sans fond telle un puit de pierre précieuse

Lancelot offrît a la demoiselle un autre sourire tout en lui fixant les yeux comme tout a l'heure

La jeune femme avait du mal à rester concentré. le franc-parlé du chevalier et son regard infléxible la mettaient vraiment mal à l'aise et elle ne savait plus où se mettre.

- Vous ne devriez pas dire tout ça. Je suis sure qu'une quelconque princesse vous attend et il n'est pas très poli envers elle de me délivrer de telles paroles. D'autre part,je n'y suis vraiment pas habituée et ça me fait un drole d'effet. Vous aviez quelque chose à me demander ?-

Sigrid préférait changer de sujet de discussion et tenta par la même occasion de se remémorer le nom de cet homme. Rien à faire, elle ne l'avait jamais entendu.