Après une visite aux esprits [pv Sethirien]

Jörmundur était venu dans ce lieu car il sentait la présence de nombreux esprits. Il ne s'interraissait pas aux déesses pour qui ce lieu était un lieu de culte mais il venait rendre visite aux esprits qui étaient présents. Après s'être assis et étant parfaitement reposé le nain prit une espèce de pâte dans son sac. Il s'en tartina la peau, là où se trouvaient ses deux poumons et ferma les yeux. Pendant plusieurs heures il restat ainsi, immobile, comme le lui avait apprit Guimlindr. Lorsqu'il eut fini sa méditation il s'enleva la pâte et s'approchat de l'eau et trempa ses mains dedans. :

Ah, au fait, tu peux sortir de ta cachette maintenant.

Le nain s'était adressé à une personne invisible qui l'épiait depuis le début de sa méditation. Les esprits de la terre l'avait avertit de cette présence.

Alors qu'il était en train de chasser un lapin, Fring avait entendut quelqu'un venir près du lac aux déesses. Se cachant dans dans un buisson le nain avait suivi, étonné, l'étrange cérémonie de Jörmundur. Il n'avait pas raté le moindre détail et sursauta quand il se fit appeler. Il était persuadé que le nain n'avait pas put le voir. Méfiant il sortit tout de même de son buisson, près à agir en cas de danger, mais recitant tout d emême le salut habituel nain.

Que ta barbe reste toujours longue frêre nain mais comment à tu fais pour me remarquer ?

Le salut était nécessaire lorsque l'on rencontrait un nain, même inconnu car ne pas le dire revnait à insulter la fierté du nain en question.

Jörmundur finit de se rincer le visage et se retourna. Il regardat Fring :

Que ta barbe soit toujours plus longue mon frère. Je suis un chaman, ce sont les esprits qui m'ont averti de ta présence.

Il s'approchat du nain roux et tandis une main puissante devant lui :

Je suis Jörmundur Barbe de pierre, fils de Throrin Epée de mort, du clan Diristhos détruit par les Urgals. Et toi, qui es-tu ?

Il attendit que l'autre nain lui sert la main avant de la reposer sur sa masse, posée devant lui en signe de non-agression. En effet, si il l'avait posé sur son épaule ou légèrement levée cela aurait été un signe de défit mais poser son amre vers le bas été une autre marque de respect.